A peine arrivés à Hortobagy et déjà "pompettes" !
Le "Routard" donne une adresse à Hortobagy : il s'appelle Albert, il propose des chambres d'hôtes, il parle très bien le Français, c'est un érudit de sa région, de l'histoire de son pays, il organise des tours en calèche et il est dépositaire de certaines traditions locales de bienvenue.
Malheureusement aucune chambre n'était disponible chez lui quand on l'a sollicité et il nous a gentiment proposé d'aller chez son voisin et on a accepté. Et donc à peine arrivés dans le village on va voir Albert qui nous accueille chaleureusement et nous conduit chez les voisins qui ne parlent que le Hongrois, c'est un couple de retraités qui nous serrent dans leur bras comme si on était leurs enfants (ou leurs petits enfants) et en fait au bout de 5 minutes on fait partie de la famille et c'est réciproque.
Viens ensuite le moment solennel de bienvenue et aussi de "bénédiction" avec le verre de gnole fabriqué maison et cul sec à consommer sans modération mais qui a nécessité un grand verre d'eau pour faire passer sur le champ les brûlures d'estomac. Le problème c'est qu'il fallait aussi soigner la "bénédiction" chez Albert vu que c'était lui qui nous avait accueillis en premier lieu !
Il a donc sorti la même gnole, probablement issue du même tonneau mais aussi une grande bouteille de vin (de table) du coin qui devait servir à donner du courage aux paysans du coin quand ils partaient aux champs de bon matin, et il a fait le service dans des grands verres en étain qui remplis ne pouvaient être soulevés qu'à deux mains (là s'exagère un peu !).
On a parlé un peu politique, on a parlé un peu voyages et rapidement Albert à enchaîné sur une particularité de la langue Hongroise qui voulait que les mots "sang" et "chair" se retrouvent ensemble dans un même mot, ou quelque chose du même acabit, que le Hongrois était la seule langue qui présentait cette particularité, et que par conséquent Jésus Christ était Hongrois !
Après deux verres en étain du sang du Christ, il n'y avait aucun doute : Jésus était bien Hongrois ! La seule chose qui posait problème à ce moment à mon esprit dérangé était que j'avais du mal à imaginer comment le Christ avait bien pu faire le trajet entre Budapest et Bethléem.
Le soir nous sommes partis joyeux dans le village pour dîner et le lendemain nous étions fin prêts pour la balade en calèche dans la plaine, balade pendant laquelle il fut question de Kolkhoze, de steppe acide, de cochon à poil long, de puit à balancier et de vache Hongroise.
Jeu N°3 : Comment s'appelle cette plaine ?
Question 1 pour 30 points
Retrouvez les résultats du jeu N°1 à la rubrique Le jeu Tour Europe 2015
Les résultats du jeu N°2, vous les trouverez plus tard !
Mais avant cette escapade champêtre, nous avons pu profiter d'une journée ensoleillée à Budapest qui figure sans hésitation pour moi en tête de liste des capitales visitées à l'est. La ville est aérée, vivante, elle a du charme et ça bouge !
Pour la découvrir nous avons comme à Vienne et Bratislava pris le bus touristique et aussi le bateau sur le Danube qui permet d'avoir une superbe vision des deux rives du fleuve et des grands monuments de part et d'autre, et en fin de journée face au fleuve et dans un bar branché en plein air... petit moment de détente : Tavernier, un Aperol Spritz !
Jeu N°3 : Budapest est partagée en 2, comment s'appellent les 2 parties de la ville (fastoche) ?
Question 2 pour 15 points
Le lendemain matin avant que la petite ne prenne l'avion pour revenir en France, nous avions envie de profiter d'une des attractions les plus populaires de la ville : les bains thermaux. Et effectivement il n'y a pas que des touristes dans les différents bassins en extérieur et en intérieur, et il n'y a que l'embarras du choix des températures d'eau dans ce labyrinthe de bains, piscines, spa et saunas.
Jeu N°3 : Quelle est la température de l'eau la plus élévée dans les bassins extérieurs ?
Question 3 38 points pour celle (ou celui) qui s'en rapproche le plus, 25 points pour le deuxième et 10 points pour le troisième
Pour clore notre séjour en Hongrie nous sommes partis dans la fameuse région de Tokaj, fameuse pour ses vins mondialement connus dont le Tokaji élaboré à partir de raisins atteints de pourriture noble (à bien y réfléchir, ça à beau être noble c'est quand même de la pourriture... Berk !) et nous avons fait un petit coucou au domaine Disznoko cher au cœur de Carole puisqu'il appartient au groupe AXA.
Jusqu'à présent la petite était avec nous,
Jusqu'à présent l'état des routes secondaires était plutôt bon,
Jusqu'à présent les maisons des villages étaient jolies,
Jusqu'à présent il n'y avait pas de décalage horaire (et en l'absence de volet, nous étions réveillé à 4h du mat'),
Jusqu'à présent les automobilistes conduisaient prudemment,
Jusqu'à présent on mangeait léger,
Mais maintenant nous sommes en Roumanie !
Et les gens sont A.DO.RA.BLES et c'est ce qu'il y a de plus important !
Tout de suite après le passage de la frontière nous avons pris conscience que le pays était un peu différent des autres avec ses usines d'un autre âge (probablement de l’âge communiste), ses immeubles d'habitation dont le dernier ravalement avait dû être voté en conseil syndical de copropriété du temps de Ceausescu (jeune) et ses routes en travaux n'autorisant aucun pronostic sur l'heure d'arrivée à l'étape. Du coup on a loupé la visite de la grotte des ours à cause d'une arrivée tardive.
On s'est retrouvé le soir dans une espèce de grand chalet montagnard habité seulement par le gérant et ses chiens, on a découvert dès le premier jour la richesse (en calories) de la cuisine Roumaine, richesse confirmée le lendemain par le petit déjeuner typique qu’on n’a bien évidemment pas pu avaler et qui nous a tenu 2 jours de pique-nique dans du papier alu.
La Roumanie n'est en fait pas très "exotique" et ressemble un peu aux pays que nous connaissons grâce au grand marché économique Européen et mondial et on y retrouve ses grandes enseignes internationales : Mac Do, IKEA, METRO, DECATHLON et pour la première fois 2 marques d'hypermarchés Français bizarrement toujours situés côte à côte dans les zones commerciales.
Jeu N°3 : Quels sont ces hypermarchés, et quel est le rayon alimentaire le plus représentatif (quelquefois plusieurs travées) ?
Question 4 pour 10 points chaque hyper et 15 points pour le rayon le plus représentatif
La Roumanie, c'est aussi des châteaux comme celui de Dracula à Bran ou celui de Pèles bien plus joli, des vieilles villes très bien restaurées à Alba Julia, Sibiu et Brasov où nous attendait Olivier avec qui nous avons passé une soirée mémorable (sa maman peut être fière de son fiston !). Et toujours cette gentillesse des Roumains, leur envie de rendre service, de parler un peu Français, d'être aimables, partout où nous étions.
Jeu N°3 : Une dernière question pour des points supplémentaires : en Hongrie et en Roumanie nous avons très souvent vu de grands oiseaux nicher en haut des poteaux, des pylones ou des cheminées. Quels sont ces oiseaux ?
Question 5 pour 20 points
Pour l'instant on n’a pas encore croisé les tartares, les mongols ou les bachibouzouks !
Et toujours pas de bouteille de gaz pour notre frigo !
Pour l'instant, on ne vous a pas parlé de Bucarest, ni de notre entrée en Bulgarie... mais ça viendra.
Attention : Seules les réponses données en commentaire sur cet article ou sur le livre d'or seront acceptées avant le mercredi 22 juillet 2015 à 18h00 (heure Française).
Il n'est jamais trop tard pour commencer, même si vous avez bêtement raté le premier jeu.
Vous avez également jusqu'au 22 juillet pour répondre au deuxième jeu, mais les retardataires auront quelques points "malus" !
Alors à vos jeux, prêts, partez !